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Accusations mutuelles de double langage en RCA

Kossivi Tiassou31 décembre 2012

Toujours pas de règlement en vue à la crise politico-militaire en République centrafricaine. La coalition rebelle du Séléka menace à nouveau de marcher sur Bangui, la capitale.

Statue de soldat centrafricain à BanguiImage : AFP/Getty Images

Le président François Bozizé l'a promis après sa rencontre avec le président en exercice de l'Union africaine, le Béninois Yayi Boni : il ne briguera pas un nouveau mandat en 2016. Il s'est dit prêt aussi à négocier avec la rébellion en vue de former un gouvernement d'union nationale.

La rébellion, regroupée au sein du Séléka, ne croit pas à ces promesses et fait de nouveau monter la pression en menaçant de marcher sur Bangui. Un dernier verrou reste à sauter, ou à contourner : celui de la ville de Damara, à 75km au nord de Bangui.

Écoutez ci-dessous les propos du porte-parole militaire du Séléka, le colonel Djouma Narkoyo, auquel répond le ministre centrafricain de l'Administration du territoire et porte-parole du gouvernement, Josué Binua. Chacun des deux camps accuse l'autre de double langage. Ils sont interrogés par Kossivi Tiassou.

Clip ZAR : Séléka - MP3-Stereo

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Clip ZAR : Minister - MP3-Stereo

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