Au Burkina Faso, le bras de fer se poursuit entre travailleurs de la santé et gouvernement. Au troisième jour de la grève - sans service minimum- les syndicalistes se félicitent de leur bilan. Ils réclaments des augmentations de salaire et de meilleures conditions de travail. Quand le pouvoir se dit déçu de cette grève qu’il compare à du sabotage. L’ordre des médecins, lui, invite au dialogue pour préserver la santé des populations.

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