L'Afrique est souvent perçue comme la victime de courants de pensées non endogènes. Dans ce contexte d'insécurité, quelques écrivains croient qu'ils peuvent encore stopper la propagation de ces maux par leurs plumes.
Publicité
[No title]
De Camara Laye à Mongo Beti, en passant par Bernard Dadie, Sembene Ousmane, Bernard Fonlon, Pabe Mongo ou encore Calixte Beyala. Des oeuvres présentes au Salon international du livre, qui a pris fin lundi soir au Musée national du Cameroun à Yaoundé. Pour nombre de participants, les courants idéologiques, religieux, et culturels nocifs pour l'Afrique sont d'inspiration étrangère. Notre correspondant à Douala, Hery Fotso a tendu son micro à certains participants.