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La place contestée de la Turquie au sein de l'OTAN

Delali Sakpa
4 décembre 2019

Malgré l'offensive unilatérale de l'armée turque au nord de la Syrie, Ankara reste un membre solide de l'OTAN.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan.Image : picture-alliance/AP Photo/M. Dunham

"La Turquie ne va pas se faire chasser de l'OTAN" (Emmanuel Dupuy)

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Le sommet marquant les célébrations des 70 ans de l´Otan s'est conclu dans un certain climat de défiance à Londres, notamment vis-à-vis de la Turquie. Les relations sont en effet tendues entre Ankara et l'Alliance atlantique depuis l'opération militaire de la Turquie dans le nord de la Syrie. Cette offensive avait été lancée début octobre sans concertation avec l'OTAN. Par ailleurs, l'achat par la Turquie du système de missile russe S-400 sème le doute sur les intentions du pays.

Pour autant, selon Emmanuel Dupuy, président de l'Institut Prospective et sécurité en Europe, ceux qui estiment que la participation de la Turquie au sein de l'OTAN serait remise en cause se trompent.

Ecoutez l'interview en cliquant sur l'image principale de l'article.

Le président turc Recep Tayyip Erdogan.Image : picture-alliance/AP Photo/M. Dunham

"La Turquie ne va pas se faire chasser de l'OTAN" (Emmanuel Dupuy)

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