Le Bayern file en quarts de finale
15 mars 2018Déjà vainqueur à l’aller à Munich (5-0), le Bayern s'est également imposé à Istanbul (3-1). Côté bavarois, les trois buts ont été inscrits par Thiago Alcantara, le milieu de Bayern, puis Gokhan Gönül qui a marqué contre son camp et enfin Sandro Wagner, l’attaquant du Bayern. Vagner Love a, quant à lui, réduit le score pour Besiktas.
Cette victoire a permis au Bayern Munich de rejoindre pour la septième fois d’affilée les quarts de finale de la Ligue des champions de football. L’entraîneur bavarois Jupp Heyckens en est devenu le premier technicien à remporter onze victoires de rang dans ce championnat prestigieux européen. Il détrône le Néerlandais Louis Van Gaal, l’ancien entraîneur du Bayern qui ne comptait que dix victoires.
Le FC Barcelone écrasé Chelsea.
Après le nul (1-1) à l’aller, le club catalan a dominé à domicile les Bleus de FC Chelsea (3-0). L’argentin Lionel Messi qui était déjà buteur à l’aller, a encore été très décisif, avec un doublé qui lui a fait atteindre la barre des 100 buts dans la compétition, ce à quoi l'entraineur de Chelsea Conte n'a pas manqué de lui faire des compliments:
"Je suis très heureux d'avoir l'occasion, à la fin du match, de lui faire des compliments, car je répète que nous parlons d'un joueur extraordinaire, le meilleur au monde".
Le FC Barcelone et le Bayern Munich rejoignent le Real Madrid (double tenant du titre), la Juventus (finaliste sortant), le Manchester City ainsi que Liverpool, l'AS Rome et le FC Séville. Le tirage au sort des quarts de finale pour ces huit équipes qualifiées se fera ce vendredi.
La Fédération internationale de football (Fifa) menace le football grec d’un "GREXIT
Le président du comité de surveillance de la Fifa, Herbert Hübel, a estimé mercredi que le football grec était "au bord du précipice". Il évoque notamment la succession de violences lors des dernières rencontres. Des violences qui ont culminé avec l'irruption dimanche sur le terrain, arme à la ceinture, d'Ivan Savvidis le président du PAOK Thessalonique lors du match contre l’AEK.
"Déposer les armes" ou être exclu "de la famille du football international", c'est le choix devant lequel la Fifa a placé les responsables grecs du ballon rond. Un président de club armé sur la pelouse: pour la Fifa, le football grec a franchi une ligne rouge.