Exilé en Belgique depuis 2016, Moise Katumbi est entre autre accusé d'usurpation d'identité par le gouvernement sortant. Il lui était jusque-là interdit de retourner en République démocratique du Congo.

Cet évènement pourrait marquer le retour de Moise Katumbi sur la scène politique congolaise avec sa plateforme «Ensemble qui est en mesure d'aligner 66 députés au parlement.

Cela pourrait aussi constituer une aubaine pour le camp Tshisekedi, qui se trouve en minorité numérique face au FCC (Front commun pour le Congo), la plateforme politique de l'ex-président congolais Joseph Kabila.

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