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Le viol comme arme de guerre au Soudan du sud

24 juillet 2017

Le rapport intitulé "Do not remain silent" (Ne pas rester silencieux), est très accablant pour les parties en conflit. Amnesty International dénonce le caractère ethnique et politique des violences sexuelles.

Äthiopien Gambella Flüchtlingscamp
Image : Reuters/D. Lewis

"Les pratiques sont le fait de toutes les parties au conflit" (Jean-François Dubost)

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Depuis la reprise du conflit en 2013 entre le camp du président Salva Kiir et celui de son ancien vice-président Riek Machar, les ONG dénoncent le sort réservé aux populations civiles. Des dizaines de milliers de personnes ont déjà perdu la vie et plus de 3,5 millions ont été de déplacées.

Dans ce nouveau rapport rendu public ce lundi, Amnesty International, une organisation de défense des droits de l'homme a fait part de l'état de détresse des victimes.

Pour les experts des Nations unies, "l'impunité pour des violences sexuelles s'est installée et est une conséquence directe de l'échec du gouvernement à agir contre leurs auteurs." 

Ecoutez les explications de Jean-François Dubost, chargé de la population à Amnesty International.

 

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