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"Les Camerounais attendaient un sursaut de l'opposition"

27 septembre 2018

Le professeur camerounais Alawadi Zelao analyse les raisons du manque d'engouement de l'électorat à quelques jours de la présidentielle du 7 octobre.

Kamerun Zwiebelmarkt in Yaounde
Image : picture alliance/dpa/J. P. Kepseu

"Il y a une rupture entre l'opposition et la population" (Alawadi Zelao)

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Depuis le début de la campagne le samedi 22 septembre dernier, les principaux candidats poursuivent leur opération de charme, pour convaincre les populations à voter pour eux. C’est ainsi que plusieurs meetings se sont déroulés à travers le pays, y compris, dans les deux provinces anglophones du pays : le Nord-Ouest et le Sud-Ouest.

Cette campagne a été placée sous haute surveillance militaire.

Plusieurs observateurs ont noté le peu d’engouement des populations pendant cette campagne. Qu’est-ce qui justifie donc cet immobilisme constaté ?


Eric Topona s’est entretenu avec Alawadi Zelao, enseignant-chercheur et Coordonnateur de Groupe de Recherche sur les Dynamiques Sociales et Politiques (GREDYSOP).

Alawadi Zelao  est aussi professeur de sociologie politique, et Vice-Doyen de la Recherche et de la Coopération à la Faculté des Sciences Juridiques et Politiques à l'Université de Dschang au Cameroun.

Pour écouter l’intégralité de l’interview, cliquez sur la photo ci-dessus.

 

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