La signature de cet accord par certains membres du Rassemblement des forces acquises au changement  n'a pas surpris. Car bien avant l'ouverture des travaux du dialogue politique national, qui se sont achevés le 18 octobre 2016, des analystes avaient déjà prédit des fissures au sein  de cette plate-forme de l'opposition congolaise. Des fissures qui se sont confirmées avec le départ de cette coalition de l'ancien Président de l'Assemblée nationale, Vital Kamerhe, par ailleurs président de l'Union pour la nation congolaise, principal parti d'opposition ayant accepté de participer au dialogue avec le pouvoir.  

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