Des barricades ont été érigées jeudi sur certains axes routiers de la capitale centrafricaine. Des coups de feu sporadiques ont été entendus, alors que des hélicoptères de la force française Sangaris survolaient les quartiers les plus sensibles. Les soldats burundais de la Misca, la force de l'Union africaine, ont été pris à partie, car accusés d'avoir protégé les assaillants dans leur progression vers l'église.

Ecoutez ci-dessous le témoignage de Joseph Bindoumi. Il est président de la Ligue centrafricaine des droits de l'homme