Face aux cas d'atteinte des Droits de l'homme, les autorités s'efforcent de faire respecter les droits fondamentaux des migrants avec la loi de 2005 sur la lutte contre la traite des personnes et pratiques assimilées, ansi que la mise en place d'une Cellule nationale de lutte contre la traite humaine.  Me Pape Sène, le président du Comité sénégalais des droits de l’homme explique les ambitions de cette cellule:

"Le rôle que nous jouons fondamentalement, c’est que, quand nous constatons une violation des droits de l’Homme et, dans le cas particulier des personnes migrantes, c’est de dénoncer la violation et également d’attirer l’attention des autorités compétentes pour que des mesures urgentes soient prises pour mettre fin à la violation, et également que d’autres mesures soient prises pour que plus jamais ces violations ne se répètent".